Charlotte DIPANDA : UNE FEE CLOCHETTE
                                                                     
La musicienne camerounaise a conquit en deux tours de musique, un public qui se veut de plus en plus unanime sur son talent.
Il y a eu Bebey MANGA à la fin des années 70.C’est au tour de Charlotte DIPANDA  de faire son époque. A travers ses mélodies enchantées, envoutantes cette jeune dame de 27ans imprime ses marques dans le paysage artistique tant camerounais que de la diaspora.qui aurait cru que Charlotte, alors interprète au coté de Jeannot HENS en 2000, deviendrait une véritable diva de la chanson.ses albums sont accueillis comme du pain béni au près des amoureux de la bonne musique ; pour qui les chansons apaisent les cœurs. Dans tout les ménages, toutes les rues l’on ne vit qu’au rythme de « mispa » et maintenant de « Dube l’am « .A chaque fois c’est avec le même entrain qu’Eloïse étudiante ,  fredonne l’air de « coucou » »ses morceaux me détendent ,c’est une chanteuse qui a sa place dans la musique camerounaise ».c’est certainement les thèmes quelle aborde dans ses opus qui favorisent l’adhésion du public .De la vie à l’ amour en passant par la famille ,toutes les couches sont visées. Mais c’est  surtout sa voix qui charme, et à laquelle hommes et femmes succombent. Une voix qui a écumé plus d’un cabaret il y a quelques années, accompagnée des artistes de renom à l’instar de papa WEMBA.
Originaire du littoral camerounais,  la majorité de ses titres sont chantés en langue Douala. Celle ci pose des difficultés au public qui ne comprend pas forcement  les textes .Au delà de cette barrière, il se dégage une question d’identité culturelle, car Charlotte nous promène dans plusieurs sonorités  africaines.il arrive que les fans se rapprochent des natifs juste pour comprendre les paroles des chansons de leur idole.                                 
Même si  certains jeunes comme Evodie, pensent que la musique de charlotte DIPANDA est très douce à leur gout, celle ci connait une ascension qui ne risque pas de s’arrêter là. La suite pendant ses tous prochains concerts au Cameroun reste  donc à imaginer…                                                                                   
Alexandrine ETOA

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